Patrizia a un avis sur tout

© Tous les textes et photos de mon cru m'appartiennent et ne peuvent être utilisés de quelque manière que ce soit et sur n'importe quel support sans mon autorisation expresse!

Le patient a souvent raison 18 avril 2016


Pour parler du sujet qui m’intéresse aujourd’hui, prenons l’exemple du prétendu machin « contre » le HPV. Il est:

  1. autorisé (alors qu’à l’évidence, il y a comme un blème dans la méthodologie),
  2. remboursé alors qu’il est ultra cher et qu’un frottis, moins onéreux et plus sûr (en plus!) le remplacerait avantageusement et…
  3. proposé aux fillettes dès 9 ans (parce que dès que vous avez eu des relations sexuelles, le machin, déjà très controversable, marche encore moins bien!).

Ce qui, en caricaturant à peine, revient à dire que:

  1. Les médias ne vérifient pas les communiqués du lobby pharmaceutique, les publient tels quels bien trop souvent en passant comme chat sur braise sur les conflits d’intérêts potentiels (et avérés dès qu’on daigne y jeter un œil), ainsi que, dans ce cas, sur la non-efficacité avérée elle aussi du « vaccin contre » le HPV;
  2. nos autorités mêmes se fourvoient (par naïveté, on ose espérer) par ces mêmes pharmas alors même que ça coûte un bras.

Force donc est de constater que le citoyen lambda qui a un poil les yeux en face des trous a quelque intérêt à prendre sa santé en main lui-même. Je vous entends déjà gloser sur le fait qu’on s’informe sur internet (seul internet serait donc aujourd’hui une source d’information, et bè… vous avez pas souvent vu un livre, ni de docu (radio ou TV), ni d’article dans d’autres journaux que la massmerdia habituelle, vous!). Comme si, en outre, on ne savait pas trier le bon grain de l’ivraie et faire – ce que devrait savoir tout journaliste – croiser ses sources*. Si en plus, on prétend utiliser, d’abord, un remède d’antan avant de passer à la pharmacopée… Et si vous cessiez de ricaner bêtement?

Un médecin de famille à Bâle a tenté une expérience, lisez donc plutôt:

Louis Litschgi, médecin de famille à Bâle, est sorti des sentiers battus. Il renverse sans autre forme de procès la hiérarchie entre médecin et patientèle, affirmant que « les patientes et patients décident où aller. Moi, je suis assis sur le siège arrière. » Il a choisi de faire confiance à celles et ceux qui viennent dans son cabinet, même quand elles et ils ne veulent pas suivre les suggestions de traitement. M. Litschgi précise avoir toujours eu cette attitude. Il y a plusieurs années, il a pu montrer qu’il avait raison, grâce à une étude réalisée avec plusieurs collègues. Laisser cogiter la patientèle en vaut souvent la peine. L’étude, récompensée par un prix de recherche en 2011, révèle ceci: sur 80 patientes et patients qui ont proposé un traitement différent de celui préconisé par leur médecin et n’ont pas changé d’avis même après de longues négociations, le résultat était aussi bon dans plus de la moitié des cas que si elles ou ils avaient suivi les conseils de leur médecin. Dans 27 pour cent des cas, le résultat a été meilleur et dans seulement 14 pour cent pire qu’avec une thérapie conventionnelle. En d’autres termes, les patientes et patients qui prennent leurs responsabilités en tirent profit.
Il est également intéressant de noter que les deux tiers de ces « autonomes », comme M. Litschgi appelle respectueusement ces obstiné-e-s, réclament plutôt moins de traitement que suggéré. Mais la plupart des médecins ont du mal à accepter une telle autonomie de leur patientèle et à élargir ainsi la relation de confiance. D’après M. Litschgi, il est important de ne pas laisser tomber la personne qui choisit sa propre voie. Il faut l’accompagner et ne voir aucun problème dans un éventuel changement de décision. Et si ça tourne mal? Pas de quoi perdre son calme: « Cela peut arriver même si nous avons tout fait comme il faut. En médecine, beaucoup de choses tournent mal. »

Tiré de l’excellent journal de la Banque alternative suisse, Moneta 1-2016

*mais à lire les articles dithyrambiques sur la vaccination et le fait qu’elle aurait sauvé le monde,
on peut franchement en douter (les statistiques de l’OFS lui-même, ça vous dit quelque chose?!)

 

Médicaments: 4ème cause de mortalité! 20 novembre 2013


Le Journal of Law, Medicine and Ethics* du Centre d’éthique Edmond J. Safra de l’université Harvard a publié un article sur « La corruption pharmaceutique institutionnelle et le mythe des médicaments efficaces et sûr« . « Une vaste série d’études et de procès a d’ores et déjà attesté des stratégies par lesquelles les compagnies pharmaceutiques cachent, ignorent ou déforment la réalité à propos des nouveaux médicaments, déforment la littérature médicale, et déforment la présentation des produits auprès des médecins. »

L’innovation, dans l’industrie pharmaceutique, se mesure à travers l’apparition de nouvelles molécules de synthèse, qui présentent pourtant des avantages cliniques négligeables.
« La prépondérance de médicaments dépourvus d’intérêt thérapeutique date d’au moins trente-cinq ans. Depuis le milieu des années 1970 jusqu’au milieu des années 1990, de nombreuses estimations ont établi que seulement 11 à 15,6% de ces nouvelles molécules présentaient un réel avantage thérapeutique. »
D’après la revue Prescrire, qui a analysé la valeur clinique de tous les nouveaux médicaments autorisés en France de 1981 à 2001, seuls 12% d’entre eux présentaient un avantage thérapeutique.
Mieux: pour les années 2002 à 2011, seuls 8% offraient un intérêt, alors que 15,6% étaient plus dangereux qu’autre chose. De plus, « la plupart des nouveaux médicaments autorisés et promus depuis les années 1970″ provoquent de tels effets secondaires que les maladies iatrogènes sont devenues la quatrième cause de mortalité aux Etats-Unis, avec 128 000 morts par an. Enfin, d’après les données de la National Science Foundation, les groupes pharmaceutiques – considérés par le Congrès, la presse, le public et eux-mêmes comme « innovants » – ne consacrent que 1,3% de leurs bénéfices au développement de nouvelles molécules, tandis que 25% sont alloués à la promotion.

*Vol. 14, n° 3, 2013

Article paru dans le Nexus n° 89 de novembre-décembre 2013

Ce mensonge institutionnalisé a commencé (avec l’aval des autorités sourdes, muettes et aveugles) dans les années 70, nous dit-on… N’est-ce pas dans ces années-là que le matraquage vaccinal a commencé? Et que certaines maladies, jusque-là bénignes, sont devenues ter-ri-ble-ment dangereuses?! Que peut-on en déduire?

 

Nexus… il serait peut-être temps d’arrêter de fumer la moquette, là! 4 janvier 2012


Il y a moins d’un an, quand je me suis abonnée à Nexus, ils paraissaient moins allumés que ce qu’ils semblent être devenus depuis 2 ou 3 numéros. L’ufologie prend une place de plus en plus importante, voire la plus importante, et l’immense papier ce mois sur Patrick Dupuis et « Les ravages de l’abus sexuel », heu… comment dire? Je ne sais pas ce que fume l’interviewé, mais je ne suis pas sûre de vouloir en prendre. Et puis que dire de ses « preuves » dont une « indirecte » décrite ainsi: « (…) lorsque dans une même fratrie, on trouve un homosexuel, une femme frigide et une allumeuse compulsive, on peut être sûr à cent pour cent de la présence dans l’entourage d’un (ou d’une) prédateur sexuel« . Dans le genre preuve, c’est assez convaincant, n’est-il pas? Quant au fait que Patrick Dupuis sous-entend que les homosexuels le sont parce qu’ils ont été agressés sexuellement… Quant au fait que la journaliste (vraiment?) n’émet aucune objection à ces « preuves » et à des allégations pour le moins assez maladroites envers les homosexuels…

J’ai rencontré Nexus grâce à Pryscka Ducœurjoly  (qui, malheureusement ne fait plus partie de l’équipe rédactionnelle) et par le biais de son excellent ouvrage « La société toxique« . J’aimais le contrepied systématique pris par le magazine vis à vis des pharmas et des vaccins en particulier. Documentés, référencés, leurs articles, notamment ceux de Sylvie Simon (auteure de Vaccins, mensonges et propagande) valent le détour et c’est fort dommage que la grande partie mystico-tantrico-masturbatoire de la ligne éditoriale actuelle rende le tout de moins en moins crédible, même sur les sujets où les rédacteurs sont irréprochables.

Ainsi, dans ce dernier numéro, on trouve un article (encore un puisque tous les journaux s’y mettent désormais) pour dénoncer l’inutilité et la dangerosité du Gardasil*. Articles qui, de Marianne à 20 minutes, en passant par le Nouvel Observateur et Nexus, ne semblent être ni lus, ni pris en compte par nos politiciens. Mais comme on peut encore décider de faire ou non vacciner nos filles avec ce machin, le petit peuple dont je fais partie est peut-être intéressé à apprendre que:

Si l’on compare le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus qui était de 6,4 pour 100 000 femmes en 2010, on s’aperçoit que le nombre d’effets secondaires graves – dont plusieurs décès – après la vaccination est plus de trois fois supérieur au risque d’être atteinte d’un cancer du col, d’autant que celui-ci n’est pas, de loin, forcément dû au papillomavirus.

* Attention, le Cervarix ne vaut guère mieux.

 

Vaccins si sûrs aux effets indésirables graves IN-EX-IS-TANTS 4 décembre 2011


Dans le magazine Paraplégie du mois dernier, présentation de la gagnante de Miss Handicap 2011. Une Zurichoise. Une jolie et jeune demoiselle de 18 ans à admirer ici: MissHandicap2011.

Stefanie Dettling a donc remporté l’élection et dans sa présentation, on apprend les raisons de son handicap en ces termes: « Cette jeune fille de 18 ans a subi, bébé, un empoisonnement au mercure, incompatible avec un vaccin. Aujourd’hui, elle est dans un fauteuil roulant et ne peut bouger les bras que dans certaines limites. »

Sur le site du concours, la présentation fait aussi état d’une « réaction à un vaccin » à l’âge de 6 mois.

Rappelons donc, qu’AVANT le vaccin, elle était en parfaite santé.

 

La vaccination anti-HPV: futur scandale sanitaire? 3 octobre 2011


Le communiqué (ci-dessous) des Editions Xenia porte haut un titre sans ambiguité, mais très inquiétant. Que se passe-t-il dans la tête des instances dirigeantes qui sont en charge de notre santé et qui, massivement, instaurent, promeuvent et remboursent (!) une vaccination inutile, chère (très chère) et probablement dangereuse.

La vaccination anti-HPV: futur scandale sanitaire?

Dans le cadre d’une réunion de consensus tenue ce 3 octobre 2011 à l’Assemblée nationale, les plus hautes instances sanitaires françaises, à commencer par le ministre de la Santé, M. Xavier BERTRAND, ont été invités par le Dr Philippe de CHAZOURNES à venir se pencher sur la polémique que soulève actuellement en France la vaccination anti-HPV. L’une des pièces essentielles du débat est l’ouvrage de Jean-Pierre SPINOSA et Catherine RIVA, « LA PIQÛRE DE TROP? ». Le vaccin Gardasil®, imposé à grand tapage comme le premier « vaccin anti-cancer », est le plus coûteux commercialisé à ce jour. Il est couvert par la Sécurité sociale dans la plupart des pays. « La Piqûre de trop? » a relevé les opérations d’influence, les conflits d’intérêt et les pressions qui ont abouti à ce succès. Pire, on y découvre que l’efficacité réelle de ce vaccin n’a pas été prouvée par les études et qu’elle ne correspond pas aux données mises en avant par l’industrie et les autorités de santé. Cette enquête rigoureuse a fourni l’argumentaire essentiel d’une réflexion qui a déjà abouti à l’interdiction, en France, d’une publicité pour le Gardasil®. Malgré leur gravité, les éléments mis en évidence dans « La Piqûre de trop? » n’ont jamais été réfutés. Le montage pharmaceutique planétaire révélé par cet ouvrage d’investigation pèse des milliards d’euros.

Pour en savoir plus, ou pour commander l’ouvrage, visiter la page du livre: http://www.editions-xenia.com/livres/hpv/ — XENIA EDITIONS CP 395 – CH-1800 Vevey +41 21 921 85 05 skype: xeniabooks http://www.editions-xenia.com

En France, le Gardasil a été épinglé et interdit de publicité et … pourtant, dans les médias français, la pub pour un vaccin soi-disant contre le cancer de l’utérus a déjà repris. Au Canada, une campagne scandaleuse présentant la seule variante au vaccin comme étant la ceinture de chasteté est dénoncée par de nombreux experts qui soulignent que la gynéco qui s’exprime dans cette campagne a un évident conflit d’intérêts puisqu’elle a été rémunérée par un des fabricants.

Comment est-ce possible que nos gouvernements se laissent berner ainsi? C’est inquiétant, consternant et, pire! dangereux pour notre santé.

 

Vivons-nous vraiment plus longtemps? Non, mais on le croit. Mise à jour du 16.12.2018 24 Mai 2011


Complément: En cette fin d’année 2018, je suis ravie de lire sous la plume de Bertrand Kiefer, Directeur Médecine et Hygiène, rédacteur en chef de la « Revue médicale suisse » (qu’on ne peut pas soupçonner d’être un bobo alternatif « nopoo » qui élève des chèvres dans les Ardennes) dire ce que beaucoup savent depuis plus de 10 ans: non, nous ne vivons pas plus vieux et oui, les vieux d’aujourd’hui ont subi moins de pollution chimique et mangeaient moins, mais de vrais aliments (pas des additifs à tous les étages)! A lire sa chronique, ici: MalaiseDansl’EspéranceDeVie

Les médias martèlent que l’espérance de vie ne cesse de s’allonger. Et ce grâce aux progrès de la médecine. Or l’Etat français dépense actuellement près d’un milliard d’euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l’énormité de cette somme, le nombre de malades augmente et la morbidité a plus que doublé depuis 1970. Auto-persuasion naïve ou manipulation du lobby pharmaceutique?

Dans un article paru dans le magazine Nexus n° 74 des mois de mai et juin, Sylvie Simon, journaliste entêtée qui fait son boulot (ce qu’on ne peut plus dire de la majorité des journalistes de la presse actuelle quand il s’agit de santé publique) compare les faits avec la propagande pharmaceutique et remet les pendules à l’heure.  Et les faits sont têtus.

(..) L’amélioration de notre espérance de vie par la médecine est l’une des plus grandes contrevérités de ce siècle qui relève d’une manipulation de chiffres. Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couche, a fortement diminué grâce à l’hygiène de vie, mias la mortalité prématurée, c’est à dire celle qui intervient avant l’âge de 65 ans, est à l’origine de 25% des décès annuels dans l’Hexagone.

(…) Le 14 février 2004, le professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l’hôpital Georges-Pompidou, a confirmé sur France Inter que l’allongement de la durée de vie au-delà de soixante ans était quasiment nul et que les chiffres optimistes viennent surtout de la réduction de la mortalité néonatale et infantile, grâce aux antibiotiques et, encore une fois, à l’hygiène de vie.

Ce qui n’empêche pas certains (mal informés?) d’entonner encore et encore le même refrain avec le même enthousiasme:

(…) Le 29 septembre 2005, Thierry Breton, ministre de l’Economie, affirmait sur France Inter que « l’espérance de vie s’allonge de trois mois par an » grâce aux sommes dépensées par la Sécurité sociale. Et depuis, ces propos sont repris ad libitum par toutes nos autorités de santé, afin de convaincre de leur efficacité.

Ces affirmations sont d’autant plus ridicules que les nombreuses personnes âgées encore en vie ont eu très peu recours à la médecine chimique dans leur jeunesse, mangent sainement, et ont laissé les maladies infantiles forger leur système immunitaire sans vaccins.

(…) Non seulement, nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades et de plus en plus dépendants de l’industrie médico-pharmaceutique.

N’importe qui peut d’ailleurs faire le même constat puisqu’il y a moins de quarante ans, le cancer, la sclérose en plaques et la maladie d’Alzheimer étaient choses rarissimes. Dans mon seul entourage proche (et je ne parle là que de moi), une personne souffre – et le mot n’est pas trop faible – d’un cancer que rien ne soigne, une est sortie d’affaire d’un cancer du sein alors qu’elle n’avait pas 30 ans, une troisième est décédée d’un cancer du pancréas avant ses 50 ans. Dans ma famille directe, une tante est atteinte de sclérose en plaques évolutive foudroyante et ma grand-mère avait perdu la boule bien 20 ans avant de mourir. Presque centenaire, certes, mais à quoi ça sert de vivre si vieux si c’est pour être comme un légume?
Et vous? Faites le compte, gageons que cela n’est pas mieux dans votre entourage. On vit vieux? Vraiment? Et quand c’est le cas, est-on en bonne santé? Ne serait-il pas temps de remettre en question une affirmation infirmée chaque jour un peu plus? Et de cesser de claironner à tout va que la vaccination a sauvé l’humanité puisqu’à l’évidence, cela n’est pas vrai? Et de cesser d’affirmer que les pesticides, insecticides et produits chimiques divers ne sont pas nocifs pour l’homme puisque…

Je demande, hein, je demande.

Jean-Paul Jaud fait le même constat dans un film Nos enfants nous accuseront.
Terrifiant, mais nécessaire. Après l’avoir vu, il ne vous sera plus possible de manger autre chose que des produits bio.

 

 

Il s’est passé des choses ces derniers temps? 10 Mai 2011


Chères amies, chers amis de la blogosphère,

La semaine dernière fut riche en événements (comme les six derniers mois) et, dans les nouvelles qui m’ont percuté le cervelet gauche (celui de la réflexion, celui-là même, ouiiiiii), il y a eu:

  • La mort de Ben Laden. A moins d’habiter la lune, la nouvelle ne pouvait passer inaperçue. Et tout le monde de gloser sur l’exécution (prétendue ou réelle selon les interlocuteurs), sur l’absence de preuves, sur la justice qui n’a pas été rendue (seul point sur lequel j’arrive à être d’accord dans tout ce fatras de vérités balancées par les médias depuis le coup d’éclat étasunien), sur ces abrutis (mais vraiment!) amateurs de théorie du complot. Moi, ce qui m’étonne, c’est qu’on s’en étonne. J’en parlais d’ailleurs ici: La théorie du complot.

Ce que j’en pense? Blablabla. Oserais-je dire que je m’en fous? J’ose. JE M’EN CONTRE-FOUS! Mais alors à un point! D’abord, je ne sais même pas si c’est vrai. Ensuite, ça m’épuise à l’avance de devoir chercher quelles sont les manigances étatiques que ça cache – si c’est vrai de vrai et même si ça ne l’est pas. Bref, je trouve que sur ma vie à moi, les industries pharmaceutiques, celles de l’agroalimentaire et du nucléaire ont un VRAI impact. Calamiteux. Ben Laden…

  • Le prix des médicaments, les magouilles des pharmas et la cécité des gouvernements face aux conflits d’intérêts, mensonges et propagande de cette industrie qui ne nous veut pas du bien. Quelques exemples? Ce n’est pas ce qui manque.
    1. Vendre un médicament tout pareil, mais sous un autre nom et BEAUCOUP plus cher, c’est ici: Un vrai scandale. Les excuses bidon de Roche et Novartis, ici: Du grand n’importe quoi. Les autorités s’en étaient déjà émues en 2008? On est en 2011? Ha.
    2. Lors de son audition le 3 mai à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’affaire Mediator, le Dr Philippe de Chazournes révèle comment l’industrie pharmaceutique fait pression sur les médecins, les arrose largement, les emploie et les utilise pour propager sa propagande. Pendant que, dans le même temps, ses représentants squattent congrès médicaux et facultés de médecine. Très efficace, on en a la preuve chaque jour un peu plus. Dans cette audition, le Docteur parle du Gardasil. Un des noms de ce fameux – prétendu et très cher – vaccin contre le HPV, celui-là même que notre Conseiller fédéral a décidé de rembourser à toutes les femmes jusqu’à 26 ans! L’audition se regarde et s’écoute ici: On achète les médecins.
    3. Ce grand n’importe quoi (fort rentable) des pharmas a fait l’objet d’un film très intéressant, à visionner ici: Propagande et cie.

Ce que j’en pense? Beurk! Je pense aussi que c’est lassant car ça fait plus de 20 ans que certains médecins rappellent que la dangerosité de la rougeole date de la sortie du vaccin. Lequel ne protègerait (en plus!) pas les populations (Faillite de la vaccination contre la rougeole). Pire, il rendrait la maladie plus dangereuse pour des catégories (nourrissons, jeunes adultes) qui n’étaient pas touchées avant les campagnes de vaccination. Mais on continue à nous bassiner avec cette épidémie qui tue moins que la route.

  • Edipresse et Tamedia présentaient leurs bilans, tout en chiffres noirs. Tout fiers d’eux, de leur efficience, de leur remarquable capacité à faire du fric. Mais pas pour tout le monde.
    Tout réjouis à l’idée de ce max de pognon qu’ils allaient se mettre dans les fouilles. Encore et encore. Et passaient comme chat sur braise sur:

    1. les licenciements
    2. la pression ressentie par les collaborateurs qui restent et à qui on demande plus pour moins
    3. la qualité (?) de leurs journaux.

Ce que j’en pense? Je pense à Myret Saki qui dit (L’Hebdo, 13 avril 2011): «A quoi servent les médias s’ils ne procèdent à aucun questionnement critique et se contentent d’être de simples courroies de transmission?» (La fin du dollar). Et ça me ramène aux deux premières actualités de ce billet.

Et ce sera tout.

 

La société toxique de Pryska Ducœurjoly aux éd. Respublica 23 mars 2011


La nature humaine est ainsi faite que la population n’a nul besoin que la soumission soit obligatoire pour s’y adonner. Personne n’oblige ainsi les Italiens à regarder les chaînes de télévision de Berlusconi, ni les Français à rester plantés plusieurs heures d’affilée devant TF1. Pourquoi contraindre les citoyens par la force alors qu’une connaissance plus approfondie de leurs comportements démontre qu’ils ne demandent que ça?

Voici un livre que j’ai eu grand plaisir à lire. Il correspond à mes préoccupations du moment et devrait – si vous avez comme priorité de rester en bonne santé, tant mentale que physique – correspondre aux vôtres.

On connaît – ou on devrait connaître – la toxicité désormais prouvée des aliments industriels et de ceux cultivés en « traditionnel » (« traditionnel » ou « conventionnel » voulant dire dans ce cas, cultivé avec pesticides, donc depuis moins de 50 ans, curieux, non?).

On connaît – bien qu’on n’ait guère l’envie de s’étendre sur le sujet – la toxicité des médias, de la télévision en particulier, mais la presse écrite n’est guère à la peine dans ce domaine. Jugez donc, pour exemple frais du jour, du titre de manchette d’un certain quotidien orange (alors que, comme chacun sait, en ce moment dans le monde, il ne se passe RIEN): « Gays de père en fils ». Ouaih, pas moins! Si on a la presse qu’on mérite, et ben, ça m’inquiète.

On commence à comprendre à quel point la médecine occidentale est néfaste pour l’être humain et ne fait pas les miracles promis. Bien au contraire. On commence à peine à percevoir à quel point on a été berné par l’industrie pharmaceutique. Tous autant que nous sommes, du pékin moyen au médecin en passant par les instances dirigeantes. La prise de conscience pointe le bout de son nez, mais pour l’instant on refuse de le reconnaître tant le lavage de cerveau de l’intox médicamenteuse (et notamment vaccinale) a été efficace. Heureusement pour notre intelligence, l’industrie pharmaceutique n’hésite plus à se tirer une balle dans le pied à la moindre occasion (l’attrait du profit lui ferait-elle perdre toute mesure?). La grippe H1N1 et sa gestion – particulièrement grotesque – aura été un premier déclencheur, le Mediator poursuit le réveil des consciences et on peut espérer que les affaires qui ne manqueront pas de sortir encore finiront le travail. Après le tabac, le prochain scandale sanitaire pourrait bien avoir pour nom les pharmas.

Bien sûr, les livres sur les méfaits des cosmétiques, de la nourriture industrielle et des vaccins existent et sont nombreux – même si la presse ne s’en fait pratiquement jamais l’écho. Mais le livre de Pryska Ducœurjoly a le mérite de réunir tous ces méfaits sous un même titre. Synthétique et référencé, facile et agréable à lire, il rappelle aussi quelques vérités indispensables à un réveil de l’intelligence, comme le fait qu’une alimentation de qualité à bas coût n’est pas possible.

Peut-on vraiment trouver des cuisses de poulet de qualité à 1,85 euro le kilo, comme veulent nous le faire croire les chaînes de supermarchés? Cet argument du pouvoir d’achat est tout sauf compatible avec la qualité nutritionnelle. Il n’a d’autre but que de fournir un alibi à la consommation de masse et de nous garder sous la coupe de l’industrie agroalimentaire, dont nous sommes, ne l’oublions pas, les premiers débouchés…

L’autre versant de cet argument fallacieux serait que l’alimentation bio serait réservée aux riches. L’hypermarché serait dès lors, le défenseur du pauvre et de l’opprimé.

On veut nous faire croire que la nourriture doit coûter toujours moins cher pour qu’elle soit accessible à tous. Mais à force de tirer les prix vers le bas, au détriment de la qualité, notre représentation du coût de l’alimentation s’en trouve complètement faussée. Dès lors, un produit de qualité (comme un poulet bio  7 ou 8 euros le kilo ou un fromage fermier à 16 euros le kilo) apparaît hors de prix!

Sans parler du goût incontestablement meilleur des produits fermiers, ainsi que de la valeur nutritionnelle d’un produit bio de qualité du fait qu’il rassasie mieux et plus longtemps. La preuve par le McDo dont c’est un fait aujourd’hui établi que la nourriture qu’on y vend « ne tient pas au ventre ».

En résumé, il s’agit d’un livre salutaire qui permet, à moindre coût, de tordre… le cou aux mensonges des industriels à qui notre santé importe bien moins que notre pouvoir d’achat. Mais côté pouvoir d’achat justement, il faudrait ne pas oublier…

(…) que l’agro-industrie est fortement subventionnée et fortement polluante. Coût pour le contribuable européen (…): 450 euros par an et par foyer… (…) En d’autres termes, supprimez les subventions aux cultures intensives et vous verrez doubler les prix dans les supermarchés!

La note plus gaie et résolument optimiste du livre, vous la trouverez dans les quelques conseils santé et nutrition très intéressants, bon marché et à la portée de tous que l’auteure offre à ses lecteurs.

Pryska Ducœurjoly promet un nouvel ouvrage sur un sujet « choc ». Affaire à suivre, donc.

 

Le vaccin contre la grippe est inefficace, pire il est plus dangereux que celle-ci 7 mars 2011


Deux articles parus ce mois dans Nexus révèlent l’inefficacité des vaccins contre la grippe pour le premier et le fait que la grippe est moins dangereuse que son vaccin pour le second.

Une étude révèle l’inefficacité des vaccins contre la grippe

L’étude « Les vaccins pour prévenir la grippe sur des adultes sains » publiée à la libraire Cochrane, dénonce l’industrie pharmaceutique dans son intégralité, le secteur des essais cliniques et le système médical qui s’appuie sur eux.
Les auteurs se sont efforcés de rechercher et d’étudier les recherches traitant des effets du vaccin. Ils n’ont pas trouvé de preuve tangible de l’efficacité de la vaccination contre la grippe sur des adultes en bonne santé âgés de 18 à 65 ans et estiment que la plupart des essais sont inadéquats. Pire, ils ont établi que les seuls essais prônant les bénéfices du vaccin étaient financés par des industriels. Selon eux, les études financées par des industriels avaient plus de chance d’être publiées dans les journaux prestigieux. De plus, les scientifiques ont révélé des cas d’effets secondaires graves provoqués par le vaccin, en dépit des rapports inexacts prétendant le contraire. (…)
« Les résultats tendent à déconseiller la vaccination sur des adultes sains. »

C’est marrant, mais à chaque fois qu’on creuse – vraiment! – le cas des vaccins, on tombe sur un os. Les vaccins seront-ils démasqués comme la prochaine escroquerie du siècle? Il y a malheureusement fort à parier que cela soit le cas dans un avenir pas forcément proche, mais… à venir, c’est sûr!

La grippe est moins dangereuse que son vaccin

Les personnes ayant été infectées par le virus de la grippe A (H1N1) fabriquent des anticorps actifs contre un grand nombre d’autres souches de virus grippaux.
C’est ce que rapporte l’étude de l’équipe du Dr Patrick Wilson de l’université de Chicago, qui a travaillé sur neuf sujets ayant contracté la grippe A. Les analyses menées sur ces personnes montrent qu’elles produisent une large gamme d’anticorps dont certains seraient actifs contre la plupart des virus grippaux (virus saisonniers, grippe espagnole, grippe aviaire, etc.). Les chercheurs voient en ces observations la possibilité d’élaborer un vaccin grippal universel. Fait surprenant, l’étude ne précise pas si les individus ayant été vaccinés contre la grippe A ont développé une meilleure immunité depuis… (…)
Précisons que le vaccin n’est pas totalement fiable et qu’il est malheureusement fort probable que le risque de développer une atteinte neurologique soit accru après la vaccination. (…) Si le doute est encore permis sur le lien existant entre le vaccin et ce trouble neurologique, le rapport provisoire de la National Narcolepsy Task Force finlandaise, publié le 1er février, a le mérite d’être clair: soixante enfants et adolescents auraient contracté une narcolepsie suite à une vaccination contre le virus H1N1, ce qui correspond à un risque neuf fois plus élevé de contracter la maladie après la vaccination.

 

Le retour de la grippe porcine, pouet, pouet! 18 janvier 2011


Avez-vous lu Le Matin du jour (GrippePorcineBlablabla)? Je vous en donne un résumé très très succinct (mais le papier ne vaut pas plus) qui dit l’essentiel:

Les cas d’infections au virus H1N1 n’arrêtent pas d’augmenter. Et cette explosion n’est pas près de se calmer. Selon les spécialistes, il n’est pas trop tard pour se faire vacciner.

Selon quels spécialistes? En fait-il partie celui-là qui nous dit, dans le même article, ceci?

« Il est important de le répéter, souligne Daniel Koch. Pendant la vague grippale, il faut respecter les normes d’hygiène, se laver régulièrement les mains et si on est malade, tout faire pour ne pas contaminer les autres. »

Bon, le 13 septembre dernier, le même journal nous disait ici (Selaverlesmains) que:

H1N1: se laver les mains est inutile

La désinfection régulière des mains avec un gel hydroalcoolique, recommandée par les autorités sanitaires pendant la pandémie de grippe H1N1, ne fait pas de grande différence dans le taux d’infection et les maladies qui en découlent, selon une étude américaine.

Voilà. Voilà. La question demeure: manque d’esprit critique ou absence de cerveau?

Et, rappelons au passage que la grippe est moins dangereuse qu’une grippe saisonnière… (sans parler du « reste »  – trop fois rien au sujet des conflits d’intérêt et le business des médicaments et vaccins – à vérifier ici:L’enrichissement des labos pharmaceutiques, documentaire et ici:Tamiflu.

Je me sens très fatiguée tout d’un coup. D’un coup, d’un seul! La grippe?