Enfin quand je dis « aux betteraves », y en avait qu’une dans cette recette-ci, mais ça a largement suffit pour la couleur, isn’it?
Rien que pour la couleur qui met de bonne humeur!
Ceci – d’essentiel! – précisé, passons à la recette… Et bien, les aminches, je vais pas vraiment vous la donner parce que, figurez-vous que le risotto est avant tout une question de feeling (et de présence constante auprès de la bête). Le risotto, chez moi, c’est une obsession. Depuis cet été, j’en cuisine beaucoup, beaucoup et j’approche (bientôt) de la perfection avec un risotto au romarin juste… divin.
Mais bon, si vous insistez… Vous insistez? OK. En clair, vous émincez un oignon, pressez une gousse d’ail, faites rissoler le tout dans un peu d’huile, jetez le riz que vous faites blondir, vous salez, poivrez (oui, moi, je fais ça à ce moment-là et j’ajuste l’assaisonnement au fur et à mesure des « goûtages »), vous noyez avec un coup de vin blanc et laissez le riz l’absorber. Juste avant que ça colle au fond de la casserole, vous ajoutez un peu (un peu!) d’eau TRES chaude, vous râpez une bonne dose de parmesan dessus, vous laissez le riz absorber tout ça et juste avant que ça colle au fond de la casserole… bis repetita jusqu’à obtenir la consistance souhaitée (à savoir le riz ne doit pas être complètement cuit) et vous servez aussitôt.
Ce midi, avec une betterave de mon PanierBio, je nous ai concocté un risotto à la betterave assez bon ma foi. A la « recette » ci-dessus, j’ai donc ajouté (avant le riz) des dés de betterave crue que j’ai fait revenir dans l’huile. A la fin, les dés étaient encore croquants comme j’aime les choses en général, mais si on préfère plus cuit, il suffit de cuire les betteraves avant (compter une bonne heure de cuisson) ou d’en acheter déjà cuites.
Patrizia a un avis sur tout 